Testo: Bourvil. Ton Cor.
Ce fut un choc dans ma poitrine,
quand je le vis dans ta vitrine,
cache derriere un' mandoline,
ton cor.
il me facina et tremblant,
je suis entre presqu'haletant,
il m'attira comme un aimant,
ton cor.
Ah ! ce que j'aim'rais souffler dedans,
souffler dedans bien fort.
Ah ! ce que j'aimerais souffler dedans,
souffler dedans ton cor.
Souviens-toi je restais muet,
je le regardais, le fixais,
du bout des doigts je l'effleurais,
ton cor.
Tu souriais, je te revois,
en constatant tout mon emoi,
tu me l'as place dans les bras,
ton cor.
Ah ! ce que j'aim'rais souffler dedans,
souffler dedans bien fort.
Ah ! ce que j'aimerais souffler dedans,
si tu m'pretais ton cor.
Comme un petit enfant gate,
sur mon coeur je l'ai caresse.
Je t'ai dis puis-je l'essayer,
ton cor.
Tu m'as dit oui, d'un ton bonasse,
alors comme quelqu'un qu'on embrasse,
j'ai souffle fort avec audace,
dans ton beau cor,
ton cor de chasse.
Ah ! ton cor !
Alors,! tu me le pretes ou tu me l'vends ?
quand je le vis dans ta vitrine,
cache derriere un' mandoline,
ton cor.
il me facina et tremblant,
je suis entre presqu'haletant,
il m'attira comme un aimant,
ton cor.
Ah ! ce que j'aim'rais souffler dedans,
souffler dedans bien fort.
Ah ! ce que j'aimerais souffler dedans,
souffler dedans ton cor.
Souviens-toi je restais muet,
je le regardais, le fixais,
du bout des doigts je l'effleurais,
ton cor.
Tu souriais, je te revois,
en constatant tout mon emoi,
tu me l'as place dans les bras,
ton cor.
Ah ! ce que j'aim'rais souffler dedans,
souffler dedans bien fort.
Ah ! ce que j'aimerais souffler dedans,
si tu m'pretais ton cor.
Comme un petit enfant gate,
sur mon coeur je l'ai caresse.
Je t'ai dis puis-je l'essayer,
ton cor.
Tu m'as dit oui, d'un ton bonasse,
alors comme quelqu'un qu'on embrasse,
j'ai souffle fort avec audace,
dans ton beau cor,
ton cor de chasse.
Ah ! ton cor !
Alors,! tu me le pretes ou tu me l'vends ?
Bourvil
I più richiesti