Testo: Michel Jonasz. Les Heures Passées.
Je voyais briller les lumieres d?une ville
j?entendais la voix du silence
elle disait tu sais c?est pas difficile
quand il arrive tout commence
C?etait une attente c?etait un exil
c?etait le besoin d?une presence
les heures passees sans amour
sont inutiles
j?attendais que passe mon enfance
les heures passees sans amour
sont inutiles
les heures passees sans amour
sont inutiles
j?attendais que passe mon enfance
Une femme dans la nuit au loin
se profile
par une fenetre eclairee
sur un mur de pierre l?ombre fragile
de deux amants enlaces
Ils vivaient sans doute
leur premiere idylle
d?une attente la recompense
les heures passees sans amour
sont inutiles
ils vivaient la fin de l?enfance
les heures passees sans amour
sont inutiles
les heures passees sans amour
sont inutiles
Et j?etais cet homme
cette silhouette furtive
c?etait moi qui embrassait
c?etait sur ma bouche
en cette seconde fictive
que des levres inconnues
se posaient
Il s?allume un jour comme s?allume
une ville
me disait la voix du silence
les heures passees sans amour
sont inutiles
j?attendais que tout commence
Les heures passees sans amour
sont inutiles
les heures passees sans amour
sont inutiles
les heures passees sans amour
sont inutiles
j?attendais que tout commence
j?entendais la voix du silence
elle disait tu sais c?est pas difficile
quand il arrive tout commence
C?etait une attente c?etait un exil
c?etait le besoin d?une presence
les heures passees sans amour
sont inutiles
j?attendais que passe mon enfance
les heures passees sans amour
sont inutiles
les heures passees sans amour
sont inutiles
j?attendais que passe mon enfance
Une femme dans la nuit au loin
se profile
par une fenetre eclairee
sur un mur de pierre l?ombre fragile
de deux amants enlaces
Ils vivaient sans doute
leur premiere idylle
d?une attente la recompense
les heures passees sans amour
sont inutiles
ils vivaient la fin de l?enfance
les heures passees sans amour
sont inutiles
les heures passees sans amour
sont inutiles
Et j?etais cet homme
cette silhouette furtive
c?etait moi qui embrassait
c?etait sur ma bouche
en cette seconde fictive
que des levres inconnues
se posaient
Il s?allume un jour comme s?allume
une ville
me disait la voix du silence
les heures passees sans amour
sont inutiles
j?attendais que tout commence
Les heures passees sans amour
sont inutiles
les heures passees sans amour
sont inutiles
les heures passees sans amour
sont inutiles
j?attendais que tout commence
Jonasz, Michel
Jonasz, Michel
I più richiesti