Testo: William Baldé. En Corps étranger.
Je m'eloigne, j'ai la peau tatouee,
J'emmene mon ame, j'y laisse mes pieds
Tout me nargue ici-bas, j'ai le corps etranger
Tout au fond de moi, qu'est-ce qui va rester
C'est comme un jeu, une partie se joue
Le froid griffe mes yeux, l'air caresse ma joue,
Mon coeur se peint en bleu, les liens qui se denouent
J'oublie juste un peu, je suis loin de tout.
On a beau faire des detours,
On y revient, on y revient toujours
On a beau faire des detours,
On y reviendra un jour...
L'avion se pose, autour on m'envie,
On me respecte, et on se mefie,
Je n'ai plus la tete d'un enfant du pays,
Personne ne me rejette, deja je m'enfuis,
Je perds le gout de ces choses d'avant,
Je ne sais plus du tout, sans personne devant
J'ai les genoux qui tremblent, je sens de temps en temps,
Une frontiere un peu floue qui perturbent mes enfants...
Tout au creux de ma main
Cette epine plantee...
Toujours le meme refrain
Qui ne fais que tourner...
Ou je suis trop loin, ou je suis trop pres...
J'emmene mon ame, j'y laisse mes pieds
Tout me nargue ici-bas, j'ai le corps etranger
Tout au fond de moi, qu'est-ce qui va rester
C'est comme un jeu, une partie se joue
Le froid griffe mes yeux, l'air caresse ma joue,
Mon coeur se peint en bleu, les liens qui se denouent
J'oublie juste un peu, je suis loin de tout.
On a beau faire des detours,
On y revient, on y revient toujours
On a beau faire des detours,
On y reviendra un jour...
L'avion se pose, autour on m'envie,
On me respecte, et on se mefie,
Je n'ai plus la tete d'un enfant du pays,
Personne ne me rejette, deja je m'enfuis,
Je perds le gout de ces choses d'avant,
Je ne sais plus du tout, sans personne devant
J'ai les genoux qui tremblent, je sens de temps en temps,
Une frontiere un peu floue qui perturbent mes enfants...
Tout au creux de ma main
Cette epine plantee...
Toujours le meme refrain
Qui ne fais que tourner...
Ou je suis trop loin, ou je suis trop pres...
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