E gira gira la stella nera sprofonda lentamente il mar voglio ritornare, voglio ritornare. Il mostro soffia, la terra brucia tre volte sbatto contro
Ma misi me per l'alto mare aperto Oltre il recinto della ragione, Oltre le colonne che reggono il cielo, Fino alle isole fortunate, purgatorio del paradiso Nostos Nostos
So many times he crossed the line, overboard, overdrawn, over looked, it's over now She looks at herself no one to turn to, then she wonders how it got
The old cowboy sits around the camp fire Talks about faith and talks about love The greatest gift of all Love lifted me, love lifted me When nothing
Sans detour, j'ai foule tous les chemins des bois Pris de court, j'ai suivi les traces de tes pas Aujourd'hui plus que les echos de ta voix Et l'ombre
Refrain : Et si c'etait de l'amour que le savant fabriquait Dans son laboratoire, dans son laboratoire Et si c'etait de l'amour que le genie broyait
Les journees de pluie ont noirci le decor Et les nouvelles sont mauvaises encore Les gens se font beaucoup moins de bien que de tort Sur tes deux oreilles
La-bas le ciel est si haut Et le rivage delicat Les aurores sont roses Et le temps n'est jamais froid Ici la porte est close et le plafond est bas Leve
Les chiens a plumes Les poissons lunes Les cerfs-volants Les armes a bulles Les funambules Les oceans Paradis artificiel Les soleils rouges Les plantes
Deja la nuit s'acheve Et le jour se leve Ton regard toujours aussi mysterieux La paleur de tes levres Tes paroles mievres Brillent mal dans la glace
Plus rien a faire Rien de nouveau sur l'horaire Meme boulot meme carriere Plus jamais rien ne changera Planetaire Les gens tournent en rond sur la Terre
Loin de toi une nuit dans mon observatoire Telescope sur Vega sans rien apercevoir J'ai pourtant parcouru le ciel jusqu'a l'aurore Mais derriere une
Il y a d'horribles gens Qui se prennent pour les maitres Il y a d'horribles gens Et il y en a des traitres Il y a d'horribles gens Qui se prennent au
Un jour de plus a combattre le froid Demain encore le vent soufflera Tant de remous et d'eclairs qui foudroient Trop de discours et trop peu d'eclats