Des belles utopies du capital aux grandes ideologies, tout se passe et se fane, plus rarement se remplace Au reve de base bien vite se substitue, au
La peur du vide, cette angoisse m'ecoeure Je me sens mort, plus rien dans le bide Colere violence, trop souvent alors mene la cadence J'marche a la haine
Libere moi de tout ce qui m'oppresse Libere moi de tout ce qui m'aliene Ce qui m'oblige a me mentir Quand chaque jour de ma vie consiste a me convaincre
Ne vois-tu pas ces miroirs eleves au mepris de soi ? Et la qu?est ce que tu vois dans cette vitrine ? Un reflet, Une ombre, une proie, Une victime prisonniere
Des rayons projetes de ma tete boivent la lumiere la chaleur de ceux qui m'entoure pourtant, meme eux n'ont aucun amour. Seules les noires idees qu'ils
Je ne me suis jamais senti represente par un homme un parti des idees Mon pouvoir de dire de penser et de construire doit resider entre mes mains Personne
Des belles utopies du capital aux grandes ideologies, tout se passe et se fane, plus rarement se remplace Au reve de base bien vite se substitue, au gre