dans la vie arrive a son heure. Il faut bien qu'on vive. Il faut bien qu'on boive. Il faut bien qu'on aime. Il faut bien qu'on meure. Tous les six sont
amour n'a pas supporte ca Et puis toujours, ces banales chansons, Les memes pourtant mais plus dans le meme ton Et la vie qui passait, passait, Effeuillant les
reves. Tant pis si j'en creve. Je n'fais pas l'amour pour de l'argent Mais il ne m'reste pas beaucoup de vertu. C'est presque aussi decourageant Que de faire les
Ah ! Les voyages Aux rivages lointains, Aux reves incertains, Que c'est beau, les voyages Qui effacent au loin Nos larmes et nos chagrins, Mon dieu !
chien, Au naturel doit etre tres bien. - Ah ! Monsieur, ", repond la petite bonne, " Ce que vous m'dites n'a rien qui m'etonne Car ", fit-elle d'un air etourdi, " Tous les
passer les orphelins. 2 - C'est pas souvent que j'ai gagne La medaille de la bonne conduite J'peux pas manger la soupe gratuite J'aim'rais mieux dormir dans les
suis la Joconde. Mon sourire vient d'outre-tombe. Attendez que le vernis tombe. Attendez la fin du monde Et je sourirai sous les bombes, La Joconde, La Joconde, Et je sourirai sous les
La belle amour, avec un A Grand comme Paris, Toi, t'en as pas. Tu m'en promets, Tu m'en promets Qui moi, j'attends dans tes quinquets De voir s'allumer
Qui volaient entre les cordages. Un peu trop blanche etait la lune, Le soir ou tout a commence, Un peu trop pale etait la lune Quand je les ai vus s'embrasser
(ou = lire) devant les agences Les noms des bateaux en partance C'est fou, je connais leurs chemins Mieux que les lignes de ma main Adieu les amours en gondole Les
Pour des regards d'amante, Pour des airs encanailles. Les matinees enfantines Ou l'on bousculait Chopin, Les reunions de cousines Autour d'un fuseau de lin, Les
Quand les ans t'auront courbee, Tes amis abandonnee, Que les serments, les chimeres T'auront seule ainsi laissee, Souviens-toi du temps passe, De nos
acteur sa foi. C'est qu'apres minuit qu'il est libre. Si au moins c'etait avec moi. Ah... Tous les soirs il joue les bravaches, Les tombeurs et les fiers
vivrait toujours, tous les deux... Mais non ! J'irai pas chez toi Faire des scenes. Tu veux t'en aller ? Va t'en, sois heureux, Mais t'oublier, non. Je t'avoue ma faiblesse. Songeant