pain ! A la ville tu peux faire Un bon apprenti... Mais pour labourer la terre T'es ben trop petit, mon ami ! T'es ben trop petit. {Refrain:} Prends ton fusil, Gregoire
A la claire fontaine M'en allant promener J'ai trouve l' eau si belle Que je m'y suis baigne Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai
Comment faire, pour se plaire. On est de la meme terre mais pas du meme monde. Quel enfer de se taire, mais comment se parler ne serais-ce qu'une seconde
j'adore savoir que tu vas bien j'adore te savoir sans mal de chien j'adore t'entendre me raconter ta vie j'adore t'attendre jamais je ne m'ennuie je
Je laisse le temps pour qu'on me donne de la tendresse, Pour qu'un peu tout se calme et que tout cesse, Que la douleur s'eloigne et me delaisse, Que
Je suis l'ami intime Celui que tu appelles Dans tes soirs de deprime Quand l'espoir se fait la belle Je suis celui qui reste Quand l'ennui assassine
Dis a quoi ca sert de marcher sur cette terre Sans jamais te parler, sans jamais t'approcher ? Et le temps qui passe, ne change rien a rien, Oui, ce
La-bas sur l'ocean Dans ce phare qui scintille Le gardien vigilant Demeure sans famille. Seul dans l'immensite Quand le flot se souleve Parfois comme
Je sais que l?on se connait peu, Mais je dois vous faire un aveu, J?ai l?impression bizarre, etrange, Qu?aujourd?hui mon bonheur se venge Lui que
Ce qu'il reste de toi, une image imprecise, une odeur sur mon drap, une tache sur ma chemise , une photo perdue dans un etrange vide des detours dans
Il faut de l'audace; il faut de l'adace tu sais, Pour trouver sa place, et pour que tu puisses changer il faut etre sur il faut etre sur tu sais, ne
Si le vent pousse les nuages, On apercevra le soleil, Et l'on pourra tourner la page, De ces matins, pauvres reveils, Ces matins qui gardent en otage
Ca n'est pas tes mains ni ta bouche, Ca n'est pas tes seins qui me touchent, Ca n'est pas le chaud de tes bras, Ca n'est pas les mots dis tout bas, Ca
Allo la je suis dans le bus le 41 pour venus, celui qui va jusqu'a mercure J'ai pas pris la ligne vingt et une Y avait trop de monde sur la lune Il
A tous ces gens que je connais, Depuis 20 ans ou quelques jours, A tous ces gens qui m'ont donne un peu de temps, meme des toujours, A ceux qui ne sont
On n'a pas le meme drapeau, Ni la meme couleur de peau, On n'a pas le meme langage, La meme culture, les memes images. On n'a pas les memes racines
Paume au fond de mes voyages Entre mes pistes d'atterrissages, La seule chose que je garde, c'est toi, J'ai vu des aurores, des orages, Des sirenes
Je pense souvent a vous sans vous le dire Oh oui j'y pense tellement que j'ai du mal a dormir Ma solitude m'engueule de ne meme pas vous ecrire Mes