De feroces conquistadors marchent sur des corps Un effort de guerre pour lessor. Ils retaillent dans les vestes, remangent sur les restes. Le gene et
De jolis virages ou le remord sedente Ou les voies se decouvrent la promesse de la faim. Loree se derobe sous les pieces maitresse, Lempire savale au
Le soleil s'est leve Que commence la journee. Le matin, il adresse De sa main, la caresse. A midi il nous presse Pour que nos vies soient paresse.
Nous sommes les malins pas sages mais beaux, On passe de villes en villages. Nous sommes les singes qui gravitent la-haut, On sort des forets d'autres
Les ouvertures m'attirent je m'y engouffre, Pas le temps de reflechir, juste assez pour sentir Que l'aventure m'attire, je m'y engouffre, je m'y frotte
Si on allait s'y jeter, Dans les bras des autres, On pourrait s'y retrouver, Devenir autre chose. Sans se soucier de... Sans oublier ceux... Et a demi
(Instrumental)
Rien ne va, tout va mal Alors on s'oublie on s'affale, On s'autorise a penser Que de toutes facons il n'y a pas assez De quoi penser pour les autres Alors
L'apesanteur est a prendre, Ceux a l'essai le savent l'attendent, Se mouvoir sans poids, Avoir la tete plus legere. S'emouvoir de rien, S'emouvoir de
L'herbe est bleue Et mon fauteuil homophage, Je suis bien arrive. Allonge par le don d'une journee, Ils m'ont bien vide. Je me laisse alle, apres cette
Les dames d'alignent sur toutes mes lignes De leurs presences je m'amuse. Les dames s'empilent et dans leur bouche je glisse. De leur confiance elles
J'ai un petit poeme pour toi. Il est long, dur mais doux a la fois. J'attends le jour ou l'on se retrouvera Et de l'entendre, tu n'y couperas pas. Un
Ca ne pourra pas te tuer, Seulement te faire avancer. Ca pourra te faire grandir, Seulement si tu veux la murir, Et elle ira germer dans ta tete pousser