tuo sorriso milano manaus la rotta del destino di ogni tua sposa ferita rilevami il mistero di ogni tua strada perduta rilevami il mistero rilevami il mistera il mistero di ogni tuo pensierao milano manaus
J'me suis leve. La tete dans le gaz, naze. En me comportant de facon limite, un peu dans le vase. Pas d'extase, impossible de faire des phrases. Comme
J'vais t'montrer c'que c'est qu'un chanteur, moi, Tu vas voir... Eh ouais ! Jump, jump, jump ! Cheguevarap ! Eh ouais ! Comme les histoires filent
Les ch?veux tires, le dos courbe et la demarche bien cadencee Plastique sur la tete, sourcils nets et bien sur le cire Le caddie rouge ecossais qui a
Elle met du rouge a levres, encore une fois sur ses levres. Et fait quelques retouches, tourne sa juppe et se leve. Replace quelques meches, histoire
Trop petit pour comprendre Trop jeune pour savoir attendre Trop d?envies de bouger Beaucoup trop de reves assimiles Feu Follet veux partir et demander
Ok, stop, arretes tout, c?est parti, faut que j?t?explique Arrive la Tribu, arrive toute la clique Encore un nouveau son les mecs, ne restez pas statiques
J'ai tout fait, envoye des fleurs, des telegrammes... Ecris des lettres de coeur, a l'encre des mes larmes... Quelques mots poses, places sur du papier
Texte : Martial Tricoche Musique : Cedric Soubiron, Frederic Helbert Batterie: Laurent Faucheux - Basse : Laurent Vernerey Guitare: Eric Tressard - Flute
« Dis-moi "Je t'aime" » Ho la revoila, eh.. rolalala. « Dis-moi "Je t'aime" » Mais ouais, ouais.. tu l'sais. « Aller.. » Quoi ?! « Aller... »
Ca fait deja des mois que t?es partie, me laissant seul Me voila aujourd?hui devant toi, assis sur le sol Entre les fleurs, le marbre et toutes ces dalles
Mais qu'est-ce que tu veux qu'jte dise ? Dis-moi, qu'est-ce que tu veux qu'j'tecrive ? Que le monde part en couille et qu'mon coeur lui part en derive
Je parle de filles, je parle peu d?amour. Je parle de la vie courante, la vie de tous les jours. Je parle souvent de toi, je parle aussi de moi. Meme
Le vent souffle sur les plaines de la Bretagne armoricaine, je jette un dernier regard sur ma femme, mon fils et mon domaine. Akim, le fils du forgeron
J?ai trop parle de filles, j?ai trop parle de tout ca J?ai trop parle de toi et je sais que tu n?apprecies pas J?ai trop parle mais je n?ai pas envie
ere, les edificateurs de megalithes etaient sur terre. Brillantes civilisations qui n?ont pas laisse d?ecriture, mais des monuments et de mysterieuses gravures. Manau
D?histoire en histoire en cycles de legendes, il y en a une dans ma memoire qui restera parmi les grandes epopees paiennes pres du pays du clan des landes
Tu sais ma puce, j?ai perdu ton regard Je ne suis plus le gamin, mon esprit a perdu cet espoir De regarder la vie, la vraie qui nous entoure Comme l?