Parabellum Bang Bang Bang, bang He shoot me down Bang, bang I hit the ground Bang, bang That awful sound My baby shot Bang, bang He shoot me down
L'aut' matin j'me suis reveille Dans l'mond' d'la libr' entreprise Pour changer c'etait la crise La deprim' pour toute prime ! Dans le frigidaire, Plus
J'viens d'passer six mois a Fleury En prevance et pas en vacances... C'que j'penses de cett' banlieue pourrie N'est pas destine a l'enfance !... Epinay
(allez viens gamin, 'faut qu'on cause) Du haut de ses 15 ans et demi et de son 12eme etage la foule comme autant d'ennemi lui parait sans ame et sans
'Chais qu'tous on finira Dans un cercueil en bois, Mais pour tous tes coups bas, Tu pass'ras avant moi ! Depuis que dans tes mains J'ai mis mon esperance
Je suis Saddam Hussein Et j'aime qu'on dise Amen A chacun de mes ordres ! Je suis le dictateur, L'homme qui n'a jamais peur De rimer avec desordre !
On s'est pointe a la frontiere, La gueule que f'sait le gard' -barriere ! On a stoppe nos gros blindes, On lui a dit de s'approcher : " Hey Kam'rade
Hier, j'ai croise mon voisin, Et j'lui ai dit d'un ton serein : "Salut voisin, joyeux Noel !" 'M'a repondu : "D'e koa j'me mele ?! C'est pas tes sentimens
Hier je suis tombe amoureux Amoureux d'une bombe atomique ! On partira tous les deux Et on payera l'Amerique ! On fusionnera nos atome Dans les cow-boys
Le Loire a quitte La Palice Maintenant, tout est bien fini On s'en va vers le Maroni Ou les requins font la police On est sans nom, on n'est plus rien
J'ai dix huit milles hommes Devant mes yeux Dix huit roublards Devenus vieux, La ville dans le ventre, La tete creuse, les poches vides. Nos vies
Degoute ! J'ai ramasse, une raclee Ces cons la m'on pas loupe Ils m'ont cogne (sans limite) J'ai deguste (sans limite) Derouille (sans limie) Rien compris
Arriba c'est la corrida La mega-furia d'la raia La bamba En l'honneur D'la visite Des familles En guenilles Faut qu'ca brille ! A l'assaut des frigidaires
Allez les cavs, allez les gourdes Ouvrez vos coeurs et vos esgourdes A ceux qui ont fait rire leur ville Le beton des banlieues serviles Les hommes-torpilles
Au bout d'la nuit quand les bons bourgeois sont au plume Les vieux buveurs,les affreux, les hiboux S'en vont a l'heure claquer leurs dernieres thunes
Momo s'ecroule crevant de peur La gueule en sang pres de sa meule "Accident ! a dit l'inspecteur, Ma matraque est partie toute seule ! J'vois vraiment
Il est midi moins vingt Devant le Crad' Burger, Il commenc' a faire faim Dans mes tripes de chomeur ! Quand c'est question d'bectance, 'Chuis toujour
moi j'aime trop mon prochain pour le laisser souffrir sans cesse j'lui tend la main,je les aides a en finir l'argent n'a pas l'odeur de tout ces cons