Arrive presque a demain, Je pensais qu?on etait plus tres loin Pour descendre, Arrive et j?en reviens, d?autres projets avant le mien Prendre un ticket
detends-toi et dis moi, Mais qu?est-ce tu vois par terre ? C?est un verre, Alors pourquoi qui s?envole comme ca ? Eh Bebert, detends-toi et dis moi, Mais
Il faudrait descendre le ciel, Dessous mon visage Pour que je garde la tete, Au-dessus des nuages Je deforme les formes, Je voudrais que tu me formes
pleures toujours a cause de moi J?mets de l?apnee sur la ville la-dessous Debout sur la pointe des pieds Respire, respire, respire Attends, pour moi
On deloque les (les) lits des femmes, On clame leurs culottes criantes, Leurs bouches et leurs faces beantes Aux larmes des autres dames, On deloge nos
Aux vues des mes envies, D?oublier qu?on s?allonge encore Dans un autre lit A compter les feuilles mortes Qui ornent les tapisseries Moi je cours, Dans
Ces pas aciers, ces plaines desertes, Des ombres planent au-dessus des voies souterraines Asphyxie, asphyxie, j?ai les deux pieds sur terre et la mer
Adelaide est laide elle a avale deux villes, Sous ses vieux airs de petite voleuse, Adela cligne longuement des cils, Silencieuse, Adele a vole le vide
Lorsqu?elle n?entre plus dans le cadre, Qu?amer dans son ventre, le suc miserable, Ce n?est pas assez, une vie bien confortable Lorsqu?elle empile, entete
N?oublie pas lho, Lila, Au lent carrousel des etoiles, Regarde quand, sa nudite s?etale Dans ses longues siestes, En soupirant Regarde-la lho, Comme
: On deloque les (les) lits des femmes, On clame leurs culottes criantes, Leurs bouches et leurs faces beantes Aux larmes des autres dames, On deloge
: Il faudrait descendre le ciel, Dessous mon visage Pour que je garde la tete, Au-dessus des nuages Je deforme les formes, Je voudrais que tu me formes
: Lorsqu?elle n?entre plus dans le cadre, Qu?amer dans son ventre, le suc miserable, Ce n?est pas assez, une vie bien confortable Lorsqu?elle empile,
: N?oublie pas lho, Lila, Au lent carrousel des etoiles, Regarde quand, sa nudite s?etale Dans ses longues siestes, En soupirant Regarde-la lho, Comme
: Adelaide est laide elle a avale deux villes, Sous ses vieux airs de petite voleuse, Adela cligne longuement des cils, Silencieuse, Adele a vole le
toujours a cause de moi J?mets de l?apnee sur la ville la-dessous Debout sur la pointe des pieds Respire, respire, respire Attends, pour moi. Tu controles
: Ces pas aciers, ces plaines desertes, Des ombres planent au-dessus des voies souterraines Asphyxie, asphyxie, j?ai les deux pieds sur terre et la mer
toi et dis moi, Mais qu?est-ce tu vois par terre ? C?est un verre, Alors pourquoi qui s?envole comme ca ? Eh Bebert, detends-toi et dis moi, Mais qu?est